Une clé usb diagnostiquée HS, réparée… avec un script !
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Hello,
Petit partage d’expérience.
Un pote a parmi ses clés USB, une clé de belle capacité qui semblait vraiment HS, que ce soit sous Windows ou Linux : impossible de formater avec l’outil de gestion de disques de MS, ou via Gparted sous linux…Pour moi les clés USB sont du consommable, je n’y passe pas un temps fou à essayer de les réparer, je les change.
Mais en même temps, je ne les jette jamais à la poubelle, je les mets de côté en espérant qu’une belle âme puisse un jour les réparerHors j’ai procédé à un essai avec cette clé HS (fichu pour fichu), j’ai installé dessus Ventoy : https://doc.ubuntu-fr.org/ventoy
Bizarrement ça a fonctionné, la clé fonctionne de nouveau !
Bref, si un script peut sauver des clés USB, allons-y quoi !Lubuntu Linux sur Lenovo 81AX - A1260/64 - http://mikedafunk.over-blog.org
C’est vraiment sauvé ou faussement ?
Un equivalent du reset usine peut avoir effacé les infos de maintenance de la clef comme les zones de relocation de blocs. La clef se croit alors toute neuve et sans défauts… en apparence.
Essaye de la remplir de data et vérifie que le contenu soit ok de bout en bout.
Samuel.
Amiga A500 + GVP530 (8Mo/fpu/mmu/scsi) - en panne 🙁
A500 (+ 1Mo PPS), A1200 (Blizzard-IV/fpu/64Mo)
A500 Vampire V2+ ^8^ 🙂
(mais aussi TO8, TO8D, TO9. Groupe PULS.)La clé de boot fonctionne nickel, j’y ai mis plein d’isos sans problème
J’ai balancé l’info hier par mail à des potes, l’un d’eux à sauvé une SD de 128Go destinée à un Raspberry PI…
Bref, à testerLubuntu Linux sur Lenovo 81AX - A1260/64 - http://mikedafunk.over-blog.org
Il n’y a pas de miracle.
Le fonctionnement des mémoires que l’on trouve sur une clée USB sont connu électroniquement.L’espérance de vie d’une clé USB se mesure en nbr de cycles d’écriture/effacement.
Selon la mémoire utilisé, on parle d’entre 10.000 à 100.000 cycles d’écriture/effacement.Il existe une ‘table’ ou sont stocké les blocks donnée comme ‘défectueux’.
ça fonctionne selon plusieurs algo.Je n’ai pas regardé les sources de se logiciel (qui sont dispo) mais encore une fois, pas de miracle.
C’est physique ou plus exactement électronique.Si tu veux vraiment creuser le sujet il faut remplier chaque block de ta clés USB avec des données au Bit prêt connue puis effectuer plusieurs lecture et comparer.
Je dit bien au bit prêt.Je n’ai jamais dit qu’il y avait de miracles Giants!
Je constate juste que les clés USB ne pouvant être formatées (voir impossible de supprimer la table des partitions) sont le plus souvent jetées à la poubelle alors qu’un logiciel Linux/Unix et Windows permet d’en sauver certaines d’entres elles.
Après opération la clé redevient “normale”, gparted comme le gestionnaire de partitions de Windows n’affichent plus d’erreurs et on fait ce qu’on veut.
J’en ai profité pour copier pas mal d’isos sur ma clé Ventoy, les diffétentes images isos bootent et s’installent sans problème.Ton histoire de bits me donne une idée, une autre manière de procéder consiste à copier avec “dd” (bit à bit) une iso quelconque sur une clé USB (ou carte SD)
Je précise que j’ai découvert ça en manipulant sans prétention, donc si ça peut servir à d’autres tant mieux… Les poubelles sont pleines ^ ^
Lubuntu Linux sur Lenovo 81AX - A1260/64 - http://mikedafunk.over-blog.org
Passes par l’outil f3 pour verifier:
sudo apt install f3ou http://oss.digirati.com.br/f3/ si tu préfères compiler.Samuel.
Amiga A500 + GVP530 (8Mo/fpu/mmu/scsi) - en panne 🙁
A500 (+ 1Mo PPS), A1200 (Blizzard-IV/fpu/64Mo)
A500 Vampire V2+ ^8^ 🙂
(mais aussi TO8, TO8D, TO9. Groupe PULS.)@mikedafunk
Tu as mal compris ce que j’ai écris.
Je n’ai pas dis que tu avais dis que ça faisait des miracles 🙂
Je dis ‘CA’ ne fais pas de miracle.Ton histoire de bits me donne une idée, une autre manière de procéder consiste à copier avec « dd » (bit à bit) une iso quelconque sur une clé USB (ou carte SD)
Fais plutôt ça :
Tu fait juste un fdisk /dev/<de ton dur>
Tu regardes exactement la taille à l’octet prêt de ton >media<
Ex : fdisk -l /dev/sda |grep -i “sectors” |grep “/dev” |awk ‘{print $(NF-1)}’Tu crées une fichier bidon de la taille exact que tu as relevé avec des données random (exemple avec le device /dev/random)
Et tu fais un jolie DD de ce fichier vers ton media. (dd if=/dev/random of=blablabla)Ensuite, tu dump ta clée tjrs avec DD (dd if=/dev/<ton device> of=/home/dump_ma_clee_usb.bin.
Tu fais un CRC32 du fichier obtenu, tu compares par rapport au crc de ton fichier de donnée aléatoire préalablement crée.
y’a les mêmes outils avec ou sans Gui sous windows.Si tu obtiens les mêmes CRC, c’est que ta clée est 100% valide.
Si ce n’est pas le cas, c’est qu’il y a des blocs défectueux.100.000 cycles d’écriture sur une clé USB peuvent être atteint très rapidement selon l’utilisation de celle-ci.
Par contre pour le commun des mortels… on a de quoi voir venir.Merci Giants, je garde ce tuto dans un coin au chaud
Lubuntu Linux sur Lenovo 81AX - A1260/64 - http://mikedafunk.over-blog.org
ça m’est arrivé souvent des corruptions car clé arraché en écriture, ou des installations de linux qui plantent, moi aussi comme je suis tétu je jette pas et en général je m’en sortais bien en reformatant avec winxp, je n’ai jamais eu de clé bloquée, une fois une compact flash et une sd irrécupérable par mes soins…
monsieur “pegasos” de l’alchimie, il m’avais expliqué avoir réussi des mix de clé défectueuses, en ressoudant des nouvelles puces, parceque des fois c’est une mémoire foireuse, ou le controleur…
Ce sont deux choses complétement différente.s
En arrachant la clés tu risques de bousillé le Filefystem pas la clé, le hardware lui même.Quand à l’utilité de changer des composants électroniques sur une clés USB.
Vue le prix des clés, faut vraiment en vouloir 🙂
Mais bon, pourquoi pas.
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