Reproduction d’un oiseau (hola chevalier, fi….)

15 sujets de 1 à 15 (sur un total de 15)

  • anonyme

      #1834

      Sans déconner, comment un oiseau se reproduit ??????

      hum hum hum (il a une paire de coucougnette l’oiseau)

      :-?

      C beau coup mi heu quomme sa X-D

      Admin

      bigdan

        #38092

        Pixel : des fautes à la pelle, un langage approximatif style sms à 0.15 EUR ! Tu abuse vraiment… Sur Amigaimpact, il vaut mieux tourner 7 fois ses doigts au dessus du clavier avant de taper n’importe quoi.

        Merci par avance pour les modérateurs (et les visiteurs) !

        Les amateurs de nature et d’informations pour les jeunes et les moins jeunes pourront consulter également :

        o La Hulotte

        o La Salamandre

        Browny

          #38093

          pixel a écrit :

          Sans déconner, comment un oiseux se reproduit ‘ils ??????

          hum hum hum (sa des coucougnette un oiseaux)

          :-?

          Tu vois mon petit, monsieur oiseau mets sa petite graine dans madame oiseau, et ensuite madame oiseau pond un ou plusieurs oeufs qui donneront naissance à d’autre petits oiseaux. Bon pour les détails, le mieux c’est de lire ça. ;-)

          anonyme

            #38094

            Madame oiseau dit des noms d’oiseaux et son mari maître l’oiseau y met l’oiseau comme quoi la nature est bien faite!!! :-D

            anonyme

              #38095

              bin les oiseaux ce reproduise comme les humains, y a pas de mistère :-D

              anonyme

                #38096

                Ouais en même temps, as tu déjà essayé de te reproduire à quelques km d’altitude avec un parachute??? :-D

                Feuille

                  #38097

                  Révise tes cours de sciences naturelles de 6e.

                  Au pire tu te retapes l’intégrale de Nice People, la période avec Maïté, elle a expliqué la méthode il me semble.

                  anonyme

                    #38098

                    Ah ben si maïté y arrive alors (j’imagine avec la taille du parachute!!!) je vais essayer.

                    /me qui va quand même jeter prudemment dans le vide deux trois copines avant de se lancer :-D

                    SoundSquare

                      #38099

                      La saison de reproduction

                      Bien que le printemps, avec ses jours qui s’allongent, soit le signal pour les oiseaux qu’il est temps de penser à se reproduire, la période de reproduction varie d’une espèce à l’autre et dépend également de conditions plus locale. Mais avant de pouvoir se reproduire, les organes sexuels des oiseaux doivent grossir énormément pour la saison de reproduction. Chez la femelle, le poids de l’ovaire gauche, qui est le seul fonctionnel, peut augmenter de 1500 fois. Cette situation persiste un certain temps après la ponte car les oufs peuvent être détruits, rendant nécessaire une ponte de remplacement. Il faut également que la nourriture abonde, non seulement pour la femelle qui a besoin alors d’un surplus de nourriture, mais aussi pour que les oisillons inexpérimentés trouvent facilement leur alimentation. Toutefois quelques espèces comme par exemple la chouette hulotte commencent leur reproduction à une période où les proies ne sont pas encore très nombreuses. Dans ce cas, l’intérêt est d’avoir des proies plus visibles alors que la végétation n’a pas encore poussé, qu’un nombre plus important de proie comme au début de l’été, mais qui peuvent plus facilement se dissimuler. La chasse aux mulots et aux campagnols devient alors plus difficile pour ce rapace.

                      La saison de nidification peut commencer plus ou moins tôt dans un même territoire en fonction de la précocité du printemps, qui influe sur la quantité de nourriture disponible à un moment donné. Il peut y avoir pour certaines espèces d’un décalage possible d’un mois entre les années où le printemps est en avance ou en retard. Cependant en cas de coup de froid dans un printemps précoce tout peut s’arrêter et les couples peuvent même se défaire.

                      Le début de cette période de reproduction est également fonction de la latitude puisque le printemps est bien plus en avance dans le sud de l’Europe que dans le nord. Selon la latitude, des oiseaux d’une même espèce peuvent donc pondre une ou plusieurs fois. Ainsi les bergeronnettes printanières qui se reproduisent dans le sud de l’Espagne quittent leurs quartiers d’hivers pour nicher fin mars. Les bergeronnettes printanières de la sous-espèces de la Scandinavie pour leur part ne regagnent leur territoire que début juin, car un retour trop précoce leur serait désastreux. Pourtant ces deux sous-espèces hivernent dans les mêmes régions en Afrique.

                      La nature des proies capturées pour les oisillons détermine également le début de la saison de reproduction. Les oiseaux, comme les merles qui se nourrissent de vers de terre, commencent à se reproduire avant les oiseaux, comme les mésanges qui nourrissent de chenilles leurs petits, car la disponibilité des larves est plus tardive dans la nature. Quant au gobe-mouches gris il niche presque deux mois plus tard car il lui faut beaucoup d’insectes volants, qui apparaissent seulement à la fin du printemps.

                      La durée de la saison de reproduction est très variable en fonction des espèces. Certains passereaux sont capables d’avoir plusieurs couvées. Ils peuvent alors adapter l’alimentation donnée aux jeunes en changeant si nécessaire de graines au début et à la fin de cette période.

                      Beaucoup d’oiseaux pondent une seule fois par an et dans ce cas la majorité des membres de l’espèce pondent à la même période mais il peut y avoir un décalage d’un mois entre les sujets les plus précoces et les plus tardifs. Mais si un oiseau perd sa ponte, il doit souvent pouvoir faire une deuxième ponte, dite de remplacement. Cependant, les chances de mener à bien une ponte de remplacement diminuent progressivement à mesure que la saison avance, et certains oiseaux ne font pas de ponte de remplacement après avoir perdu une couvée.

                      Mais certains oiseaux peuvent avoir une période de reproduction très souple, comme par exemple le bec-croisé bifascié, qui se nourrit de graines de mélèze. Comme cet arbre fructifie à la fin de l’automne, cet oiseau n’a pas de saison de nidification fixe et peut se reproduire souvent en automne. Le champion toutes catégories de la durée de reproduction est sans doute le pigeon biset qui a jusqu’à cinq couvées et même plus. Cet étonnant comportement peut s’expliquer par l’abondance de nourriture dans les villes qui lui permet d’élever même tardivement dans l’année ses nichées.

                      Le nid

                      Les nids sont de formes et de tailles très différentes. Certains peuvent être excessivement sommaires en particulier ceux des canards qui se contentent d’une simple cuvette creusée dans la terre, car les oisillons peuvent le quitter très rapidement. Par contre pour les oisillons qui naissent nus ou presque, la qualité d’isolation thermique du nid est importante. Rudimentaires ou sophistiqués, les nids doivent donc répondre à des caractéristiques précises en terme de protection contre les intempéries ou contre les prédateurs, en leur dissimulant la portée. Certains nids, comme celui du roitelet huppé, sont très simples, fait d’un petit bol de mousse et de lichen, garni de quelques plumes ; d’autres sont plus élaborés, constituées de petites sphères recouvertes de lichen pour la mésange à longue queue par exemple. Les oiseaux de petite taille vont essayer de bien camoufler leur nid, pour le mettre à l’abri des rats, des souris ou d’oiseaux, comme les geais et les pies qui pillent les oufs. Beaucoup d’oiseaux de taille supérieure, comme la corneille noire, construisent leur nid avec des petites branches et ils seront visibles au sommet d’un arbre. Mais tous ont un point commun : le but est de mettre les oufs hors de danger et de les garder bien au chaud pour que les parents puissent couver le temps nécessaire et ensuite élever les jeunes.

                      En général le choix du site de nidification et la construction du nid sont l’affaire de la femelle, mais elle peut être aidée par le mâle. Le troglodyte mâle est une exception, puisque c’est lui qui fait la majeure partie du nid. Par contre, chez les espèces qui nichent dans une cavité (mésange, étourneau, gobe-mouches noir et rouge-queue à front blanc), c’est le mâle qui choisit le lieu, mais on ignore comment s’opère cette sélection. Il arrive aussi quelquefois que des oiseaux commencent plusieurs nids à la fois, notamment quand ils sont en présence de sites artificiels.

                      La construction du nid exige beaucoup de temps et d’énergie et dure plus longtemps au début du printemps, car le travail est souvent arrêté par le retour du froid. Travaillant plusieurs heures par jour, les pics mettent parfois un mois ou plus pour creuser leur nichoir dans le bois. Il faut trois semaines aux grives pour achever le leur, mais les fringilles mettent seulement huit à dix jours. Les grands rapaces diurnes ajoutent chaque année quelques branches à l’un des nids qu’ils utilisent à tour de rôle et celui-ci finit par devenir très volumineux. Des migrateurs comme le pinson du Nord et la Rousserolle verderolle peuvent s’accoupler dans les heures qui suivent leur arrivée sur les lieux de reproduction et se mettre à construire le nid peu après, de sorte qu’ils l’achèvent en quelques jours. Chez l’hirondelle de fenêtre la construction dure généralement une dizaine de jours quand le temps est favorable, c’est-à-dire ni trop sec ni trop pluvieux.

                      La ponte

                      Le nombre d’oufs peut varier énormément, allant de l’ouf unique, c’est le cas pour beaucoup d’oiseaux marins, à deux douzaines et plus pour les variétés d’oiseaux telles que les faisans. Les oiseaux de jardin pondent en général de 3 à 5 oufs (hirondelle, grive draine) jusqu’à une douzaine (mésange bleue). Les femelles des petits oiseaux pondent la plupart du temps un ouf par jour. Les oufs sont pondus souvent dès le début de journée, avant que la femelle ne quitte le nid. Ainsi elle n’est pas trop chargée pour le reste de la journée. L’ouf suivant se développera progressivement au cours de la journée et sera formé à la fin de la nuit. Chez certaines grandes espèces, l’intervalle de ponte entre deux oufs est plus long : environ 36 heures chez la bernache du Canada et 48 heures chez les cygnes, 3 ou 4 chez l’aigle royal, qui pond seulement deux oufs. Le Martinet noir, qui dépend entièrement de la présence d’insectes volants, pond lui aussi tous les deux jours et si la nourriture se fait rare par suite du mauvais temps, il peut pondre tous les trois jours seulement.

                      La femelle ne commencera réellement à couver à partir du moment où elle aura fini de pondre tous ses oufs. Ainsi tous les poussins viendront au monde quasiment en même temps, même si les oufs ont été pondus à des jours différents.

                      D’une manière générale, on peut dire que les petits oiseaux peuvent avoir dans une saison de reproduction plus de couvées que les espèces plus grosses. Chez ces dernières, l’incubation et le nourrissage des jeunes est bien plus long, ce qui limite souvent les oiseaux à avoir une seule couvée par an.

                      Certains oiseaux ne sont pas satisfaits avec une couvée par saison. Aussi longtemps que les conditions climatiques le permettent et après l’envol des jeunes de la première couvée, de nombreuses espèces vont avoir de nouveau une, voire plusieurs autres couvées. Les moineaux domestiques élèvent en général trois à quatre nichées par an et le merle jusqu’à cinq. La femelle du merle peut déjà pondre pendant que son partenaire nourrit encore la précédente couvée.

                      Le nombre d’oufs pondus peut quelquefois varier fortement au sein d’une espèce. Des conditions locales sont susceptibles d’influer sur le nombre de petits que les adultes peuvent élever. Certaines espèces comme le Rouge-gorge ont des pontes plus importantes dans le nord de l’Europe que dans le sud, parce que la période d’éclairement y est plus longue et parce que la nourriture y est plus abondante au milieu de l’été. Les oiseaux qui vivent dans un milieu pauvre pondent moins d’oufs que ceux qui vivent dans un habitat plus favorable. Dans les jardins, les pontes de mésanges sont plus faibles que dans les bois où les adultes trouvent plus de chenilles pour nourrir leurs petits.

                      Le nombre d’oufs peut également varier chez une même femelle au cours d’une même année ou au cours de son existence. Les femelles qui nichent pour la première fois ont moins d’oufs que celles qui se sont déjà reproduites. Les merles qui ont plusieurs couvées durant l’année ont des portées moins importantes au début et à la fin de la saison de reproduction, car les proies, chenille et vers, dont l’oiseau nourrit ses petits sont en quantité moins importante qu’en pleine saison. La chouette hulotte est capable de ne pas nicher les années où les micromammifères dont elle se nourrit sont rares. De même, la Chouette de l’Oural réagit à la pénurie de petits rongeurs en nichant plus tardivement, en pondant moins d’oufs et en capturant davantage d’oiseaux.

                      La fécondité des oiseaux semble dépendre, au moins en partie, des risques encourus par leur progéniture. En effet, les espèces les plus prolifiques sont souvent celles qui subissent les pertes les plus lourdes. Ainsi les espèces dont les oufs ou les jeunes sont fréquemment détruits compensent cette mortalité en pondant chaque année deux ou trois fois, parfois même plus. C’est le cas d’espèce comme le merle noir ou le moineau domestique. À l’opposé, les grands rapaces comme l’Aigle royal, dont les oufs et les jeunes courent moins de dangers, ne pondent au maximum que deux (ou trois) oufs une seule fois par an.

                      L’incubation

                      Les oiseaux ne peuvent transmettre directement la chaleur de leur corps aux oufs car leurs plumes forment une couche isolante très efficace. Peu après la ponte, la femelle, mais aussi parfois aussi le mâle, perd donc des plumes pectorales. Cette mue dégage une ou plusieurs plaques incubatrices. Ces zones de peau nue, richement vascularisées, seront mises en contact avec les oufs et faciliteront le transfert de la chaleur. Les plaques incubatrices ne sont présentes qu’en période de reproduction excepté chez les pigeons et les tourterelles, qui arborent une zone pectorale assez dénudée tout au long de l’année.

                      L’incubation ne commence pas toujours juste après la ponte du premier ouf. La femelle peut très bien se tenir sur les oufs mais sans les réchauffer vraiment, car pour couver, l’oiseau écarte les plumes de façon à dégager la plaque incubatrice. Lorsque l’oiseau couve, il se lève de temps en temps et déplace les oufs avec son bec, ce qui facilite la respiration des embryons, car l’air traverse la coquille. Cela garantit que tous les embryons reçoivent la même quantité de chaleur.

                      Chez la plupart des oiseaux des jardins, c’est la femelle qui couve, mais cette tâche peut être partagée par le couple comme chez les étourneaux, voire même principalement par le mâle comme chez les pics. Les martinets, eux, se relaient presque toutes les deux heures. L’oiseau couveur interrompt l’incubation pour aller manger, éliminer des fientes ou faire un brin de toilette.

                      Chez la plupart des espèces, l’ouf est très sensible au froid quand l’incubation a commencé et l’embryon meurt s’il est exposé trop longtemps à une basse température. Cependant, les oufs de quelques espèces résistent bien au froid ; il s’agit de ceux des puffins, pétrels tempête et martinets. Les adultes de ces oiseaux ont du mal à se nourrir par mauvais temps ; obligés de partir à grande distance pour se ravitailler, ils laissent leurs oufs sans protection. De même, les tempêtes empêchent les oiseaux de mer de manger. Cette adaptation s’est développée car les conditions défavorables surviennent assez souvent.

                      En Europe, l’incubation la plus longue a été observée chez le gypaète barbu (en captivité : 55-60 jours), mais chez le vautour fauve, le fulmar et le puffin cendré elle atteint 54 jours.

                      L’éclosion

                      Quand l’incubation commence après la ponte de tous les oufs, ceux-ci éclosent à peu près simultanément. Chez les oiseaux nidifuges, les oisillons pourront quitter tous ensemble le nid, ce qui favorisera la surveillance des parents. À l’opposé, si l’incubation commence avant que la ponte soit complète, les jeunes écloront les uns après les autres et il y aura de grandes différences d’âge entre eux. Chez la chouette effraye et d’autres rapaces nocturnes, les oufs sont pondus tous les 2 jours environ et les jeunes éclosent au même intervalle. Les premiers sont très avantagés par rapport au petit dernier car ils ont plus de chances de recevoir une nourriture suffisante ; si les aliments se raréfient, ils n’en souffriront pas mais les autres risqueront de périr d’inanition.

                      Quelques jours avant sa sortie de l’ouf, l’oisillon change de position et commence à respirer en enfonçant son bec dans la chambre à air située dans le gros bout de l’ouf. Ensuite, le jeune oiseau brise la coquille à l’aide de la protubérance calcaire, le diamant (ou « dent de l’ouf ») qui est située sur la mandibule supérieure du bec et qui tombe quelques jours après l’éclosion chez la plupart des espèces. À ce stade, l’ouf est « bêché », c’est-à-dire que sa coquille est fissurée en plusieurs endroits mais encore complète. Une fois que l’ouf est bêché, c’est-à-dire que la coquille est craquelée, le jeune oiseau appuie la tête contre la partie à demi détachée et les pattes contre le reste de la coquille de sorte que l’ouf s’ouvre. L’éclosion proprement dite est rapide chez la plupart des petits oiseaux mais prend plusieurs heures chez certaines grandes espèces, car la coquille est épaisse. L’effort nécessaire semble considérable et le jeune oiseau doit se reposer fréquemment. Plusieurs heures se passent avant la phase finale, qui dure moins d’une heure. Dès que sa tête est sortie, l’oisillon se dégage rapidement mais, épuisé, il reste couché au fond du nid, enroulé sur lui-même. La plupart des oiseaux chanteurs naissent sans plume, aveugles et totalement sans défense. Le duvet grandit cependant très vite. Après quelques jours, quand les vraies plumes apparaissent, ils commencent à ressembler à leurs parents.

                      Après l’éclosion, beaucoup espèces commencent par enlever les coquilles d’oufs. Lorsque le nid se trouve en terrain dégagé, cela a une grande importance car la couleur blanche de la face interne de la coquille attire l’attention et révèle la présence du nid aux prédateurs. Les adultes prennent les morceaux de coquille dans leur bec et les transportent à une certaine distance avant de les laisser tomber.

                      À la naissance les jeunes oiseaux se répartissent en deux catégories : les nidifuges et les nidicoles. Le développement des nidicoles est encore très incomplet au moment de l’éclosion. Ils sont encore nus et aveugles, seul leur tube digestif est parfaitement fonctionnel. Dès qu’ils ressentent une vibration du nid, les oisillons ouvrent largement le bec. Dans cette position, ils attendent d’être nourris. Tant que leur plumage est incomplet, ils doivent être réchauffés par un adulte. Ce dernier les prend sous son aile ou les maintient contre ses plaques incubatrices, zones de peau riches en vaisseaux sanguins situées sous les plumes du ventre. Les Columbidés (tourterelles, pigeons), les rapaces et les passereaux sont typiquement nidicoles.

                      Le développement des nidifuges, en revanche, est déjà suffisamment avancé, pour leur permettre de quitter le nid quelques heures, ou au plus tard quelques jours, après l’éclosion. Ils recherchent leur nourriture, de façon plus ou moins autonome, sous la protection d’un des parents ou des deux. Les canards et les oies, les gallinacés (poules, perdrix, etc.), les sternes et les limicoles sont typiquement nidifuges.

                      Note de BatteMan : Il aurait été sympa, et bien vu, de donner tes sources ;-)

                      Screetch

                        #38100

                        C’était vraiment très interressant ;-) !

                        Abonnez-vous à ma nouvelle chronique "En Route vers le Futur" sur Youtube !

                        anonyme

                          #38101

                          On fait un concours du postle plus long??? :-)

                          En tout cas, les oiseaux doivent être bigrement intelligents pour incurgiter toute cette théorie juste pour se reproduire 😮

                          SoundSquare

                            #38102

                            Note de BatteMan : Il aurait été sympa, et bien vu, de donner tes sources

                            mais bien sûr très cher Battounet

                            source : http://www.oiseau-libre.net

                            lien :

                            http://www.oiseau-libre.net/Site/Cadres/Reproduction.html?CadreContenuOiseaux=Reproduction.html

                            voilà voilà !

                            Google est votre ami

                            /me est content, il est sympa et bien vu maintenant :-D

                            Modération de BatteMan : Pour les citations, utilisez la balise “quote” et non “code”. <-- ben oui c ce que je fais d'habitude. <-- Note de BatteMan : Eh ben pas là apparement ;-)

                            Alex

                              #38103

                              Modération de BatteMan : Pour les citations, utilisez la balise “quote” et non “code”.

                              Bhein oui sinon t’es pas dans le topic….

                              quote quote codec dit la poule !

                              bon ok je sors ;-)

                              anonyme

                                #38104

                                alors la moi je dit chapeau, franchement c beau la nature…

                                :-)

                                Bio

                                  #38105

                                  Bon, un point important :

                                  En fait, les oiseaux ont des coucougnettes (enfin les males, hein, les femelles ont deux ovaires, mais pour faire chier les étudiants en biologie, il n’y en a qu’un seul qui marche). Par contre, ils n’ont pas de zizi (pour garder la terminologie employée dans ce thread). Males et femelles ont un cloaque, une sorte de gros sac avec un trou, qui sert d’extrémité au tube digestif et aussi d’interface I/O pour les choses du sexe (enfin I/O uniquement pour la femelle, le male ne reçoit rien, sauf dans quelques endroits reculés où le manque de femmes se fait cruellement sentir)

                                  Pour plus d’info, des TP de dissection se dérouleront dans les toilettes de l’Alchimie , venez nombreux !!!

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