Le fil de l'Amiga 1000 de Zalex
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Bonsoir,
Deuxième salve d’images. Cette fois, il y a eu démontage 🙂
Je vous présente le ventre de la machine :
Pour répondre à tous ceux qui se posaient la question, le capot comporte les signatures :
Quelques images de ma carte mère (PCB) :
Franchement, c’est propre ! Il n’ya pas une tonne de poussière comme je pensais trouver. Le top RFI shield a bien joué son rôle de protecteur 😉
Alors, j’ai regardé à la loupe : les condensateurs ont l’air propres pour une machine qui a presque 30 ans. Pas de batterie, donc pas de coulure. Pas de coulure apparente des capa.
Les composants passifs ont l’air propres dans l’ensemble.
Cela dit, je ne suis pas spécialiste d’où ma franche envie de le faire passer entre les mains d’un des membres de l’ART.
Comme tous les Amiga 1000 (je suppose …), il est équipé des 256 Ko supplémentaires :
Voilà une dernière photo de la machine nettoyée (on peut faire mieux je pense) :
Voilà voilà …
Je me suis bien embêté à retirer le top RFI shield ! Merci le “A1000 assembly level repair guide” pour le coup 😉
Bon, sinon, je ne l’ai toujours pas branché. J’y tiens quand même !
Une CD32 ... Sinon rien 🙂
Bonsoir,
yamakakiche, ton lien ne fonctionne pas.
Cela dit, s’il s’agit d’un Amiga 1000 avec le HxC/panel en facade faisant tourner Quake dont on peut voir la vidéo sur YTube, il parait qu’il s’agit d’une carte mère d’A1200/B1260 dans un boitier d’A1000.
Alors, aujourd’hui, nettoyage complet du clavier de l’A1000 sans sémontage :
Voici une vue de l’arrière du clavier. Il ne manque qu’un tampon. Les réhausseurs sont encore là et 100% fonctionnels :
Gros plan sur le logo “Amiga”. Trooop claaasse ! Excusez mon image floue.
Dernière vue sur l’étiquette collée derrière le clavier avec le n° de série (du clavier je suppose, pas de la machine) :
Au final, mis à part un petit peu en dessous de la barre d’espace, ce clavier n’est pas trop jauni.
Je trouve qu’il est d’une bonne qualité.
Concernant les étiquettes sur les touches, la “ZW” n’a pas résisté. J’ai même réussi à complètement enlever la colle sur la touche sans même faire broncher d’un ongle la sérigraphie.
Franchement, c’était pas du “cheap” à l’époque …
Je me demande si ces étiquettes n’étaient pas d’origine pour les premiers Amiga venant des USA pour la marché Français et ajoutées pour palier à l’inéxistance d’un clavier AZERTY pour la France …
Voilà voilà
Une CD32 ... Sinon rien 🙂
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