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Qui veux aller au cinéma? avec son amiga sous le bras! :D
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Contacte Sylvestre, organisateur du CPC Cinoche. Voici son site :
J’ai trouvé le moyen de le contacter via cette page :
http://scampin.chez-alice.fr/cv/contact.html
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Bleiz, me revoilà de retour de vacances. Tu as avancé sur le projet ?
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Hop!
En voici une question qu’elle est bonne! Ca a pas trop trop bougé mais je vous tien au jus ci dessous.
Ce qui a été fait:
je suis toujours sur la rédaction du projet. Je pense vous le présenter très prochainement d’ailleurs.
La rentrée du ciné étant initialement prévu en début septembre, je pense le présenter a ce moment la. Ca va me laisser du temps pour peaufiner le dossier mais également pour le diffuser a celles et ceux qui souhaite proposer la même chose dans leur coin (s’ils ont la chance de trouver un ciné pas trop obtus)
J’ai envoyé un mail a S.Campin (la personne ayant bossé sur le CPC Cinoche) pour lui demander des infos pour compléter mon dossier, je n’ai pas encore eu de réponse.
J’ai également parlé du projet a deux assos:
– le serpent rétrogaming (je fais partie de l’équipe de rédacteurs) ils soutiennent le projet, a voir si ils souhaitent s’en approcher de plus près pour nous donner un coup de mains (ils sont de paris a la base)
– 3 hit combo. C’est l’asso qui gère le stunfest du coté de Rennes. Je les ai contacté pour des questions légale (notamment sur les questions des droits de diffusion de d’utilisation de jeux vidéo dans une salle de ciné) je n’ai pas encore eu de réponse. S’ils sont intéressés, nous pourrions peut être profiter de leurs expérience dans le montage d’event, ce qui serait pas mal du tout 😀 Mais du coup, plus sur Rennes(?)
Ce qui reste a faire:
Finir la rédaction du projet. C’est pas grand chose mais un dossier bien monté pourra être, a terme, présenté partout: chez moi, chez vous, chez qui souhaite proposer quelques chose du genre.
Et ce qui va en découler: convaincre une salle de ciné!! Mais nous n’en sommes pas encore la.
Je me tate a contacter une asso en plus: l’AJFJ (Association Jeunesse France Japon) ayant de nombreuses activités sur Nantes qui bouge pas mal. Apparemment ils organisent souvent des tournois de Jeux vidéo et pourraient donc être intéressés pour faire venir du public et donc encourager le ciné a valider le projet 🙂 C’est également une grosse asso nationale, avoir leurs soutien permettrait d’ouvrir certaines portes qui me sont actuellement fermés.
pour finir le ressenti de la situation:
Pour faire court: ya encore du boulot!
Avant même d’avoir mis les pieds dans le ciné, il reste beaucoup de point a poser sur papier de manière propre.Je pense que la diffusion de démos se fera assez facilement ce qui nous assurent au moins une activité a présenter.
Pour les autres activités axés jeux vidéo, ça risque d’être parfois plus dur du aux soucis de gestion des droits d’utilisation des jeux vidéo, heureusement inapplicable pour les abandonware ou des jeux vraiment rétro mais plus complexe pour des jeux plus récents (c’est con: du pokemon a 4 en versus au ciné, ca pourrait grave le faire avec une carte d’acquisition vidéo qui va bien avec 😛 )Voili voilou!
Toujours en vie, toujours entier!
Hello!
En matière de fan film, je viens de voir Threads of Destiny (Star Wars): Franchement bien, 1h48… …seul truc, en anglais, forcément… Tourné en Suède, avec quelques français au générique…..
Bon, il n’est tout de même pas nécessaire d’avoir fait Oxfrod pour arriver à comprendre un minimum les dialogues… 😉
Téléchargé via Youtube/OWB/MorphOS, trouvable sur le site de la prod’…
Sur le MorphBook 17 branché sur la chaîne hifi, c’est déjà cool… Dans un cinéma, OuaH! 😉
Amigalement!
Pour les jeux vidéos, pense que tu peut aussi utiliser des jeux en licence libre.
C’est d’ailleurs ceux qui auraient le plus besoin de cette visibilité et qui ne te poseront jamais aucun problème du point de vue légal ou administratif.
Simplement n’oublie pas de citer le nom de leurs auteurs ou organisations et leur licence dans tes papiers et à l’oral si tu fais une présentation.
Si tu en as les moyens pense à leur faire un petit don (rien d’obligatoire).
@Elric l’idée est louable mais il est impossible de montrer un quelconque star wars (fan ou pas), dans le cadre d’une présentation publique, sans l’accord de disney. Ploup.
Je vous donne des nouvelles du bousin.
je reviens d’une soirée avec le CBG (cinéma bonne garde) et son équipe dirigeante et voila ce qui a été décidé:
– ré organisation du personnel interne de l’asso (ou plutôt création de pole d’organisation de l’asso: je trouvais leur réactions longue et lente, j’ai compris pourquoi u__u) ca devrais mieux rouler maintenant.
– je me suis mis dans le groupe événementiels afin d’être au plus près des futur projets présentés au cinéma (et donc de présenter le mien au passage hahaha hum)
– Au final (après de lonnngues discution de ce qu’était la demoscene): ils sont OK pour en diffuser! \o/
MAIS!
Ils m’ont posés une question a laquelle je ne peux répondre:
-quel est le statut des demos vis a vis du CNC? Ben moi je sais pas. Dammit!Le CNC (Centre National du Cinéma) impose un visa d’exploitation pour toute œuvres diffusés ce qui permet en contre partie d’obtenir le droit de diffusion et celui de comptabiliser les entrées. Entrées qui permettent de dégager des séances officielles, séances permettant d’obtenir le statut de cinéma d’art et d’essai (et décès?) utile pour obtenir la subvention qui fait vivre le cinéma.
En gros, plusieurs solutions:
– obtenir un visa provisoire et temporaire pour CHAQUE ŒUVRE a diffuser (donc vue le nombre de démos, c’est hors de question)
– ne pas faire payer les entrées (mais la tout de suite, ca va moins les intéresser bizarrement)
– passer par une asso et la rémunérer pour la diffusion des œuvres en questions (par contre ca va etre a l’association de gérer les droits des programmes ce qui peut etre tout un bordel)J’ai RDV mercredi 29 octobre avec les gens du bureau et un représentant du CNC pour trouver un arrangement.
De votre coté, si vous pouviez me trouver par A+B que les demos sont libre de droits, sous Creative Common, etc, bref une licence ou un format connu et exploitable: ca serait super choupinou. Si j’ai la preuve matérielle que l’on peut balancer le pâté tranquilou, on devrais pouvoir voir ce faire une séance avant janvier 2015. Ca serait bien non? 😀
Pour le moment, je ne parle pas des jeux vidéo, un problème a la fois.
Les fans films et les jeux libres: putain ouai.
Je demande des listes et même question que pour les demos: sous quels format, comment les faire valider, etc….Toujours en vie, toujours entier!
Salut!
Même si je ne suis pas dans le coin, cool si ça bouuge!
J’aime PAS disney ngan-ngan!!!
Une solution est de faire payer non pas une place de ciné, mais une adhésion associative, valable un an, un mois, un jour…
Dans ce cas le cadre devient privé.
Par ailleurs, j’ai du mal à voir comment “on” peut interdire un fanfilm à diffusion libre… Peut-être une bonne occasion de prendre contact avec les auteurs de Versus 1&2 pour leur poser la question? Ils sont par chez vous!
Bon, il est vrais que certains peuvent être franhement moyens ou indécents pour l’original… Pat contre une parodie comme Spaceballs, c’est bon! ;-p
Pour ce qui est des Demos, ce sont des oeuvres destinées à montrer des talents (ce qui est aussi le cas de Versus, de Kaydara, des “Blender Foundation”…)…
Il est donc possible pour leurs auteurs de se faire payer par leurs talents mais pas en places de spectateurs…
Un oeil du côté de pouet.net ou la question posée chez eux devrait pouvoir éclaircir cette interrogation… 🙂
Amigalement!
Mon avis; a vérifier car je ne suis pas spécialiste du droit :
Pour la plupart des démos anciennes les auteurs n’ont pas fait la démarche de les déposer. Dans le milieu c’était considéré comme du “domaine public”. Tout cela n’était pas vraiment structuré dans les années 80/90.
Mais en France le droit d’auteur s’applique par défaut. C’est à dire que dans le cas ou on ne fait aucune démarche on reste protégé par le droit d’auteur.
Donc je dirais qu’elles ne sont pas diffusables dans le cadre d’une séance de cinéma payante.
A l’époque les démos étaient placées dans des collections de domaine public. Certains organismes (ou des particuliers malhonnêtes) tiraient un profit de ces collections. En réaction certains auteurs de démo exigeaient qu’il ne soit pas demandé plus d’argent que le cout de la disquette et des timbres. Certains le spécifiaient dans les .nfo ou dans les œuvres.
Depuis l’avènement de créative commons on doit pouvoir trouver des démos placées sous cette licence. Par contre je ne sais pas dans quelle mesure creative commons est diffusable dans un cinéma.
Enfin certaines parties de démos peuvent contenir des échantillons sonores, ou des images (scans) dont les auteurs n’étaient pas propriétaires. Par exemple pour afficher un rotozoom, il y avait souvent des images qui avaient étés copiés depuis un BBS, sans l’accord des auteurs.
Dans le cadre d’une séance publique : je te conseillerais donc de faire une sélection d’œuvres qui te semblent intéressantes. Puis de contacter les auteurs pour demander un accord avant toute diffusion.
Reste la question du CNC :
“Le CNC (Centre National du Cinéma) impose un visa d’exploitation pour toute œuvres diffusés ce qui permet en contre partie d’obtenir le droit de diffusion et celui de comptabiliser les entrées.”
Que ce soit payant ou pas je suppose que c’est considéré comme une entrée.
“Entrées qui permettent de dégager des séances officielles, séances permettant d’obtenir le statut de cinéma d’art et d’essai (et décès?) utile pour obtenir la subvention qui fait vivre le cinéma.”
Donc oui je pense qu’il faudra négocier pour chaque œuvre. Mais l’important ce n’est pas la quantité mais la qualité. Il vaut mieux montrer une voire deux démos représentatives du mouvement et pertinentes par rapport au propos qu’on veut défendre que quinze.
Enfin sans pour autant assommer les gens, je pense qu’une présentation rapide est nécessaire :
Qu’est ce que le temps réel ? Culture de la scène
N’oublie pas que tu t’adresse à des novices. Pour avoir montré quelques démos à des amis, la plupart des gens qui ne connaissent pas la scène on du mal à rester concentrés sur plus d’une démo. Enfin, certains ne partageaient pas mon enthousiasme, et beaucoup ne comprenaient pas du tout de quoi il s’agissait voire ni trouvaient absolument aucun intérêt.
Peut être qu’une séance de question réponse après la projection peut être intéressante. L’idéal serait de faire venir des scéneurs intéressés par ce travail de diffusion, pour qu’ils puissent parler de leurs oeuvres. En plus ce serait plus simple au niveau des droits de ne diffuser dans une soirée que les démos d’un seul groupe.
Yep!
plusieurs choses ont étés dites et semble avoir du sens:
<span class=”normal” style=”font-size: small;”>Dans le cadre d’une scéance publique : je te conseillerais donc de faire une sélection d’oeuvres qui te semblent intéressantes. Puis de contacter les auteurs pour demander un accord avant toute diffusion.</span>
Oui mais non.
Oui parce que c’est ce que nous faisons pour les films (qui sont eux même inclus dans des listes de films d’art et d’essai) ayant des détenteur de droit connu et facile a obtenir. Ca peut marcher pour les démos récente et bien identifié, avec des auteurs tout aussi bien actifs.Mais non parce que ca va être coton pour de vieille démos datant des années 80 ou le ou les ayant droits sont nettement moins facile a contacter (mort de l’auteur, adresse mail non valide, pauvreté des source, etc) ce qui devient pour le coup du travail de détective.
Après le coup de l’encapsulation des images copyrighté dans des démos, ca devient super trop complexe a gérer la u__u;
<span class=”normal” style=”font-size: small;”>Donc oui je pense qu’il faudra négocier pour chaque oeuvre. </span>
C’est la ou je dit Argl. J’ai écris a pouet.net et il m’ont sortie la même chose, je pense que je vais donc devoir passer par la mais cela ne m’enchante pas du tout…
<span class=”normal” style=”font-size: small;”>Mais l’important ce n’est pas la quantité mais la qualité. Il vaut mieux montrer une voire deux démos représentatives du mouvement et pertinentes par rapport au propos qu’on veut défendre que quinze.</span>
Tout dépendra de ce que nous souhaitons présenter lors de ses séances: une rétrospective année par année, le best du best, démos axés sur les roto, la musique, le type de demos… Mais tu avouera que deux démos, ca va faire short pour une séance :/
Après, ca va dépendre également de l’utilisation même des démos: elles peuvent être diffusées comme cours métrages avant un film (histoire de bien casser les liens entre le public et la vie réelle) ou appuyer un documentaire sur tel ou tel sujets.
<span class=”normal” style=”font-size: small;”>N’oublie pas que tu t’adresse à des novices. Pour en avoir montré des démos à des amis, la plupart des gens qui ne connaissent pas la scène on du mal à rester concentrés sur plus d’une démo.</span>
Certes, d’où l’envie de diffuser ceci: https://www.youtube.com/watch?v=iRkZcTg1JWU pour présenter le pourquoi du comment afin de bien faire passer le message au publics. Et si ca les intéressent pas, ils viendrons pas picétou. Et si cela arrive, on diffusera autre chose (la loi de l’offre et de la demande \o/ )
<span class=”normal” style=”font-size: small;”>Peut être qu’une séance de question réponse après la projection peut être intéressante. L’idéal serait de faire venir des scéneurs pour qu’ils puissent parler de leurs travails. En plus ce serait plus simple au niveau des droits de ne diffuser dans une soirée que les démos d’un seul groupe.</span>
C’est prévus! Dans le complexe du cinéma, il existe un escalier menant de la salle de cinéma…. a un bar! Il est donc tout a fait possible de lier le cinéma et le monde des demosener IRL (avec petite convention a la clé 😀 ) Ca sera d’ailleurs surement fait. Avec grand plaisir.
Sans cadre juridique stable, difficile de commencer quelques chose de cet ordre la: il faudrait des liste de démos existante avec leur type de licence d’utilisation. Je suis déjà tombé sur des véritable mine de démos citant les auteurs (pas mal sur amiga d’ailleurs) mais les contacter tous prendrait un temps fou et un balais de questions-réponses interminables avant de débloquer une ou deux démos.
si quelqu’un pouvais m’aider dans cette taches, ca serait chouette. Limite monter un site ou présenter les démos avec leurs licences respective ou inclure l’info dans les fiche descriptive sur de l’existant (pouet.net?) afin de faciliter la recherche et l’obtention des droits de diffusions.
Sur la somme totale des démos (intéressante ou non), ma personne seule risque clairement de ne pas suffire…
je maintien mon RDV avec le CNC en espérant qu’il puisse m’aider dans cette voie (quitte a créer un nouveau service de recherche de droit sur cette unique culture informatique touchant l’audio vidéo. Je m’en vais leur demander un poste tien xD )
Toujours en vie, toujours entier!
Et hop, des nouvelles!
Pas bonnes malheureusement:
– pas de séance démoscène avant Janvier: le programme a été fixé par avance par le groupe de travail de la programmation jusqu”a décembre, je suis pas dedans. FUUU….
Pour remédier a cela, j’ai contacter d’autres cinémas locaux, peut être plus prompt a réagir pour leur proposer le projet. On va voir si il sont plus a même de m’aider.
– le fait de projeter des démos lors de séances de cinéma validé et comptabilisé pour l’obtention de subvention (dite séances “CNC”) nécessite d’immatriculer les films projeté au Registre public du cinéma et de l’audiovisuel (RPCA) (source: http://www.cnc.fr/web/fr/procedures-d-obtention-d-un-visa ) chose qui sera extrêmement complexe a mettre en œuvre.
J’ai envoyé des mails au CNC pour avoir plus d’info, pour le moment, j’ai pas de retour, je vous tiens informé si j’ai du nouveau. Je regarde également ce que je peux faire au ciné (genre des projection en leur nom, ca serait bien)
Voila pour les news. Spa top mais je suis encore dessus.
M.
Toujours en vie, toujours entier!
@Bleiz : As-tu eu un retour du festival Scopitone à Nantes ? Je les ai contactés pour présenter ton projet suite à une discussion que j’ai eu avec eux lors de la dernière édition.
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Rien du tout…
Je pense contacter l”équipe des Utopiales, le directeur était grand fan de la série Ghost in the Shell, il a présenté lui même le marathon des 4 épisodes a la suite, ca devrais lui plaire.
Je le sais car j’y était =D
Toujours en vie, toujours entier!
@Bleiz : J’ai du nouveau ! Le festival Scopitone m’a renvoyé un message pour que l’on discute du projet :).
Pour les intéressés, Scopitone, c’est le festival de l’art numérique de Nantes :
Voici le lieu où pourrait avoir lieu l’évènement, Stéréolux :
La salle est dans les locaux de la Machine :
Un des pilotes du Grand Éléphant traîne sur AmigaImpact d’ailleurs, n’est ce pas @Zogobille ? 😉Alors, cela vous dirait de vous déplacer sur Nantes pour une séance de ciné ?
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