Topic Atari

15 sujets de 61 à 75 (sur un total de 182)

  • Zorro

      #37845

      Salut,

      logo a écrit :

      Son CPU 68020 travaillait pleinement en 32Bit, alors que le 68030 du Falcon était encore en 16/32Bit et ne pouvait donc pas délivrer toute sa puissance.

      Tu fais bien de le souligner.

      Effectivement, le 030 du falcon était castré par le fait qu’il était interfacé en 16 bits vers la ram.

      Cependant, je tiens à rapeller que le fait que le 030 dispose de cache L1, qu’ils( lui et son bus) tournent 15% plus vite que le 020 du 1200 et que la mémoire d’origine soit interchangeable par de la 60ns ( contre 80ns ou pire pour le 1200) font que niveau CPU, c’est kif kif entre les 2 machines.

      Les composants graphiques AGA permettaient l’affichage de résolutions supérieures et programmables (et en overscan), avec une palette de 16.7 millions de couleurs, et 262144 couleurs simultanées en Ham8, et ils étaient beaucoup plus performants pour les modes bitplan. Le copper plus précisément, a été la clef de la supériorité de l’Amiga durant toute la période 2D de l’informatique personnelle.

      La par contre, je ne suis pas d’accord.

      Le copper était absolument fantastique et il est clair que le blitter du falcon fait bien pale figure à coté. ( je me rapelle encore de la fluidité de scroll de Cygnedit ou des effets de ouf dans les jeux :)

      Mais le copper, à part le rare cas précité et le coup de “passer un ecran l’un sur l’autre”, n’était pas ou peu utilisé dans les applications AmigaOS.. je parle d’app sur le bureau et non de logiciel tel que deluxe paint tappant direct dans le hard.

      Ce qui fait que même avec un 68060 au fesse, le workbench est d’un lenteur terrible en 256 couleurs sur le chip d’origine.

      Avec le Videl, ce probléme n’existe pas… il tourne à 32mhz d’origine( overclockable avec un simple fil à 50) et interfacé en full 32 bits vers la mémoire… sur un falcon de base ( donc, sans aucune carte accélératrice), c’est trés trés fluide en 256 couleurs ( du niveau d’une carte ISA je dirai).

      Concernant les résolutions supérieures que tu cites, encore une fois, je ne suis pas d’accord.. le Videl de base permet du 800*600 en 256 couleurs sur VGA et 1024*768 sur RGB.

      Sinon, en 16 bits, c’est 640*480 en 70hz.

      S’il est overclocké à 50mhz, c’est 1024*768 en 256 couleurs sur du VGA et 800*600 en 16 bits.

      L’AGA permet-il celà tout en restant rapide et agréable d’utilisation? d’aprés mon experience, non.

      Sinon, quelle est la resoltion maximale de l’AGA sur VGA? ( c’est une question, j’ai oublié lea réponse depuis bien longtemps).

      PS: bien entendu, j’essai de faire des critiques constructive, j’espére que personne ne le prendra mal.

      A+

      Zorro

      EDIT: je précise que toutes les resolutions du Falcon précités sont en non-entrelacé.

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        #37846

        bien entendu, j’essai de faire des critiques constructive, j’espére que personne ne le prendra mal.

        Mais non.

        Le copper permettait de tirer les fenêtres dans les applications, mais là où il démontrait tout son potentiel C dans les jeux et les démos.

        Tu as raison pour la faible vitesse des modes 8Bit de l’AGA en haute résolution, mais les modes rapides du Falcon ne sont-ils pas plutôt des modes chunky ? Moi, je parlais des modes en bitplan, là où tu peux utiliser toute la puissance des copros pour avoir des scrollings qui tuent, des sprites ou bobs en pagaille, des changements de palettes, etc…

        Sinon, l’A1200 supporte les barrettes de 70ns et 60ns également, les premières apportent un gain de vitesse par rapport aux 80ns et les secondes rien de plus que les premières, si ma mémoire est exacte.

        Pour les modes graphiques, l’AGA pouvait pousser jusqu’au 1280*960 je crois, mais ça remonte à loin maintenant pour moi, peut-être un mode dit “promotion”.

        PowerMac - G5 2.0 GHz - 1.7 Go RAM - Radeon 9600P 128 Mo - MorphOs 3.13 et Peg2 - G4 RIP
        Mac mini - G4 1.42 GHz - 1 Go RAM - Radeon 9200 32 Mo - MorphOs 3.9
        WinUAE sur HP Core2 Quad 8200
        Epave de Mist FPGA remplacé par un Sidi
        A1200 malade 😉 et A500 512+512Ko RAM Kickstart 1.3

        Zorro

          #37847

          logo a écrit :

          Le copper permettait de tirer les fenêtres dans les applications, mais là où il démontrait tout son potentiel C dans les jeux et les démos.

          Tu as tout compris!

          Le 1200 était clairement une machine taillé et pensé pour le jeu ( bien que personnellement je reproche une évolution trop timide de l’AGA par rapport à l’O/ECS du 500) alors que le Falcon pas… chacun ces forces.

          Et puis le rapport Qualité/prix était exellent.. je n’ai qu’une mesquinerie à reporcher à commodore.. ne pas mettre d’horloge interne, c’est honteux compte tenu du prix du composant necessaire.

          Tu as raison pour la faible vitesse des modes 8Bit de l’AGA en haute résolution, mais les modes rapides du Falcon ne sont-ils pas plutôt des modes chunky ? Moi, je parlais des modes en bitplan, là où tu peux utiliser toute la puissance des copros pour avoir des scrollings qui tuent, des sprites ou bobs en pagaille, des changements de palettes, etc…

          je parle de tous les modes.

          Le falcon permet:

          1 bits, 4 et 8 bits en planar et 16 bits en chuncky.

          Il n’y a qu’un seul mode chuncky quoi.

          Les modes planar n’étaient pas pensés dans l’optique jeu, de plus, ils différent des modes Amiga.. en gros, on ne peut utiliser une routine P2C Amiga sur Atari car les pixels sont organiser différement.

          Tu connais bien évidement la faiblesse des modes planar amiga pour les jeux 3D tel que Quake? et bien sur le Videl( même en mode planar), ça n’existe pas.

          Voici une preuve; Quake tournant en mode planar sur un falcon avec 060 volontairement undercloké à 70mhz pour pourvoir faire la comparaison avec un carte blizzard60 d’un A1200:

          http://falcon060.free.fr/72-25RGB.mpg

          Sinon, l’A1200 supporte les barrettes de 70ns et 60ns également, les premières apportent en gain de vitesse par rapport aux 80ns et les secondes rien de plus que les premières, si ma mémoire est exacte.

          Tu es sur? je parle de chip ram? je pensais qu’on ne pouvait pas la changer sur 1200. ( j’avais un 4000).

          A+

          Zorro

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            #37848

            Non biensûr, pas la CHIP ram, mais la Fast, qui permettait au CPU de faire un bon en performances spectaculaire.

            Si ton A4000 n’avait que de la CHIP, tu as manqué le meilleur…

            Ok pour ton exemple de Quake, mais on parlait de la 2D, parce que si il s’agit de comparer la puissance pour des jeux 3D, je connais une machine qui gère ses octets dans le mauvais sens ;-) qui a mis une raclée à tout le monde : Amiga et Atari.

            PowerMac - G5 2.0 GHz - 1.7 Go RAM - Radeon 9600P 128 Mo - MorphOs 3.13 et Peg2 - G4 RIP
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            Zorro

              #37849

              Avant de partir bosser, suite et fin du précédent article…

              Parallèlement à L’Hades, qui bien qu’extraordinaire, laissa pas mal de personnes de marbre de part son prix et son incompatibilité avec les softs spécifiques Falcon, sortait la première vraie carte accélératrice Falcon embarquant son propre CPU (un 68040 à 32mhz) et de la TT Ram., j’ai nommé l’Afterburner.

              Mais par quel miracle cette carte embarque son propre CPU alors que le port PDS du Falcon ne le permet pas ? Simple, par de la bidouille, on court-circuite le 68030 de la carte mère et on redirige ses signaux vers l’Afterburner.

              Une dizaine de fils à souder sur la carte mère + 2 pattes du 68030 à soulever et à relier à la carte accélératrice était le prix à payer pour profiter de cette carte et de son gain de 900% par rapport à un Falcon de base.

              Malheureusement l’incompatibilité avec MagiC et son prix exorbitant (5000 balles sans RAM) ont fait que son succès ne fut que d’estime.

              Plus tard arrivait la CT2 qui, bien que sont installation était aussi compliqué que l’Afterburner, était bien moins chère toute en gardant une compatibilité totale avec les vieux soft et MagiC…

              Munie d’un modeste 030 à 50Mhz, elle était aussi rapide que sa concurrente car le reste du Falcon se trouvait aussi accéléré (BUS à 25, DSP et Videl à 50) et les accès à la Fast Ram se faisait à 50mhz.

              Pendant ce temps, sortait le MKX qui était un Falcon modifié en usine pour se doter de 2 entrées/sorties audio numérique (jusque 8 avec son interface JAM), de 2 entrées/sorties au niveau line (8 avec le JAM), d’un codec audio revue et corrigé et d’un port SCSI interne, le tout dans un boité Desktop du plus belle effet à un prix très… professionnel.

              C’est sur cette machine, qui reste selon moi le top du top pour faire de la MAO, que Daft Punk (entre autre) à conçu l’album « Around the world ».

              http://home.t-online.de/home/oliver.kotschi/bilder/mkx.jpg

              http://the.zorro.free.fr/downloads/MKX1.JPG

              Tout cela à calmer les esprits pendant quelques mois mais l’envie d’une nouvelle machine puissante planait toujours.

              En 1996, 2 sociétés furent sur le coup : Milan Computer GmbH avec le Milan et Centek avec le Phénix.

              Le premier était un clone, avec 68040 et bus PCI, du ST; la philosophie Atari était préservée : « Power without the price ».

              Le deuxième était le vrai successeur du Falcon ; imaginez la bête :

              – Bi CPU – 2 x 68060 à 80mhz (240 mips).

              – Jusqu’à 7 DSP Motorola 56301 à 100 MHz (700 MIPS).

              – PCI MASTER à 132 Mo/s.

              – Ultra SCSI

              – Circuit sonore professionnel 20 bits 44.1khz et 48khz.

              – Emulation hard du STE.

              – USB, parallèle, série, etc.…

              Le tout servi avec un OS compatible Atari, Dolmen (oui, je sais, ça fait 3.. comme chez vous).

              Ce fut le tournant du monde Atari, c’est à ce moment là que les débats furent les plus chauds… et lorsque je dis chaud, c’est chaud… Rien à voir avec les querelles bien gentilles entre Hyperion et Ralph Smith.

              En 97, le Milan fut mis à la vente… Vu son prix ridicule, musico/demomaker mis à part, la quasi totalité des 10.000 ataristes restant était intéressé mais c’était sans compter Centek, qui, en allant de forum en forum, dénigrait le Milan en demandant aux utilisateurs d’attendre le phénix.

              Résultat des courses, le Milan ne s’est vendu qu’à 2/3000 exemplaires car les gens attendaient le bien plus sexy Phénix. La machine de Centek, bien qu’existant sous forme de proto fonctionnel, n’est jamais sorti… et pas mal d’Atariste ont switcher sur PC ou Mac lassés d’attendre.

              Voilà comment plomber un marché… :-/

              Le Phénix :

              http://www.czuba-tech.com/phenix/french/present.htm

              Le Milan :

              http://www.milan-computer.de/

              Après quelques années et illusions plus tard, le marché Hardware Atari actuel se résume à 2 choses :

              – Le projet ACP qui est une machine à base de Coldfire avançant sporadiquement mais comme c’est fait par des bénévoles, ça a peut-être une chance d’aboutir… au dernières nouvelles, MiNT boot dessus.

              http://acp.atari.org/news.html

              – La CT60 et ces extensions qui veulent rebâtir un Falcon par-dessus.. Un Falcon !

              Cette carte est exceptionnelle à plusieurs titres ; tout d’abord, elle ne nécessite aucunes soudures. Mais comment est-ce possible ? Comme je vous l’ai dis, le TOS doit être lancé avant d’initialiser le port PDS, la solution est de ne plus utiliser le TOS présent sur la carte mère justement !

              En effet, la CT60 possède une image du TOS patché dans sa propre ROM. Ce qui es très astucieux.

              La CT60 est exceptionnelle aussi pour ses spécificités techniques, jugé plutôt :

              – 68060 de 66 à 110 Mhz !

              – SDRAM gérer par un circuit maison.

              – Accès à la RAM à la vitesse du CPU

              – Vitesse du CPU ajustable en software via un logiciel fourni (comme sur les PC récent).

              – Lecture de la température, etc.…

              Bref, la CT60 a transformé le Falcon en la machine à base de 68K la plus rapide de l’histoire !

              http://www.czuba-tech.com/ct60/CT60_frt.jpg

              Et ce n’est pas tout, elle possède un port proprio mappant les adresses du Falcon le tout en 32 bits full speed (donc, jusqu’à 110 Mhz) ; c’est-à-dire que si l’on y branche un DSP plus puissant (mais de la même famille que celui d’origine), les softs utiliseront celui-ci et n’y verront que du feu !

              La première extension qui devrait sortir dans quelques semaines est l’Ethernat ; une carte hybride USB2/Ethernet100, voici le proto :

              http://nature.atari.org/Pics/USB_mouse_connected.JPG

              Mais ce que tout le monde attend, c’est le SuperVidel ! Oui, vous avez bien compris, deux frères (sans doute des fous) sont occupés de refaire une puce compatible a 100% avec le Videl et le blitter sur un FPGA ; le tout tournant à plusieurs centaines de Mhz, de la DDR en guise de ram vidéo et des résolutions allant jusqu’à 2048*2048 en true color.

              Bien entendu, tout est aux même adresse mémoire que le videl/blitter, donc, toutes les applications, jeux et démos actuels devraient fonctionner… et sans aucun driver !

              D’autres extensions sont prévues mais je n’ai pas le droit d’en parler.

              Les machines virtuelles :

              C’est un peu compliqué mais il ne faut pas confondre émulateur et machine virtuelle car contrairement à l’autre :

              – Une machine virtuelle n’émule aucune machine existante.

              – Une machine virtuelle n’émule aucun custom chip, chip graphique, etc…

              – Une machine virtuelle n’a pas besoin de ROM.

              – Une machine virtuelle utilise sa propre version de l’OS target (il y a une version spécifique de MiNT et MagiC pour machine virtuelle).

              – Une machine virtuelle peut utiliser, directement ou via des librairies, les périphériques de la machine hôte (regardez sur mes précédentes capture, vous verrez l’état de ma batterie sur le bureau Atari).

              – Les applications tournant sous machine virtuelle peuvent utiliser les ressources de l’os hôte comme par exemple, les drivers d’imprimantes, les polices, etc…

              – Une machine virtuelle est capable de dialoguer directement avec le CPU hôte sans passer par l’émulation.

              Pour vous donner une idée, vous avez eu un embryon de machine virtuelle avec Amithlon… c’était assez basique, mais c’est l’idée… Le problème, ce que contrairement aux dires de l’époque, Amithlon a besoin d’une émulation partielle de chipset Amiga ne serait-ce que pour booter AmigaOs. De plus, les Rom étaient toujours nécessaires.

              Revenons à nos moutons et comme je l’expliquais dans l’article précédant ; très vite, le TT commençait à montrer ces limites en PAO, pour accomplir cette tache, l’alternative à l’Hadès était la machine virtuelle d’ASH, MagiCMac.

              C’était la première machine virtuelle existant tout plateforme confondue, la compatibilité était parfaite et la vitesse incroyable… Bien que vu d’un mauvais œil par les intégristes et musico, elle fit l’unanimité chez les PAOistes.

              Il faut savoir que MagiCMac n’a pas besoin de l’OS hôte, Macos9 n’est qu’optionnel ; pour s’en rendre compte, il suffit de remplacer « Finder » dans le dossier système par l’exécutable de MagiC pour booter directement sur l’OS Atari à l’allumage.

              A la mort de MacOS Classic sortit MagiCMacX qui lui n’est rien d’autre qu’un émulateur… même remarque pour le peu glorieux MagicPC.

              Pour la petite histoire, j’ai acheté, il y a 2 ans, un Powerbook 867Mhz qui restait de stock au prix de la version 1Ghz, tout simplement parce que celui-ci était la dernière machine Apple à supporter MacOS Classic (et donc MagiCMac).

              Il existe une autre machine virtuelle en développement mais orienté MiNT (bien qu’actuellement, ça s’apparente plus à un émulateur mais la virtualisation est en court), c’est Aranym :

              http://aranym.sourceforge.net/

              Ca fonctionne plutôt pas mal, on a même l’openGL accéléré mais ça ne vaut pas encore MagiCMac.

              Avant de clore ce point, il est bon de souligner que comme une machine virtuelle n’émule pas l’hardware, il est impossible d’utilise tout ce qui tape dedans… comme c’est le cas pour 90% des logiciels de MAO.

              Voilà, c’est fini.

              Pour les curieux, niveau Hardware, je possède un FalconCT60 avec carte éclipse (pont PCI comparable au médiator), un Falcon MKX d’origine (mon précieux…), un Hadès full option (acheté d’occasion bien sur) et un Medusa040 (l’ancêtre de l’Hadès vendu à très peu d’exemplaire).

              En utilisation quotidienne, c’est kif kif machine virtuelle et CT60. C’est suivant où je me trouve mais je dois bien l’avouer, même si c’est le plus lent de tous et que, de ce fait, je ne l’utilise guerre, c’est le MKX le plus sexy.

              A+

              Zorro

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                #37850

                Hé bé ! C encore plus compliqué que sur l’miga tout ça ! ;-)

                As-tu des liens de bonnes démos Falcon (ou autre Atari) passées en mpeg. Chui curieux de voir ce que ça donne.

                PowerMac - G5 2.0 GHz - 1.7 Go RAM - Radeon 9600P 128 Mo - MorphOs 3.13 et Peg2 - G4 RIP
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                bob1969

                  #37851

                  hi !

                  Que c’était interessant !

                  J’ ai retrouvé dans l’ histoire ATARI, les memes aventures

                  du monde amiga post commodore, Les promesses et les lachages, les passionnés et les biznessmen.

                  Ils ont rencontré les memes difficultés que nous et finalement a ne pas etre unis sous une meme bannière, ils se sont éparpillés vers la marginalisation.

                  N’est-ce pas une incroyable Symbole que des AMIGAFANS acceuillant le post d’un ATARIEN avec tant de sympathie. Une solidarité dans l’épreuve certes, mais les amateurs de 68000 sont bel et bien reconciliés aujourd’hui. C’est ce ciment qui nous lie encore aujourd’hui.

                  Méme si beaucoup esperent encore dans les nouvelles machines. Il est fondamental de ne pas oublier et de conserver les machines 68000 et leurs étonnantes bibliotèques de logiciels.

                  Le combat a l’épée sera toujours le plus beau.

                  bienvenu ZORRO ta machine m’interesse !

                  BOB1969

                  evangeliste moderne

                  logo

                    #37852

                    C la passion du 68000, ou le dégoût du x86 ?

                    ;-)

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                    anonyme

                      #37853

                      (c’est juste pour le fun et le symbole hein ;-))

                      Zorro a écrit :

                      Je passe volontairement la génération ST/STE qui, MIDI mis à part, ont été selon moi des machines de merde comparé à l’A500

                      p*tain, il m’aura fallu 15 ans pour entendre ça de la bouche d’un atariste ! :-D

                      Si on m’avait dit ça à l’époque, que dans 15 ans on en reparlerait X-D

                      C’était marrant finalement cette lutte Amiga VS Atari, un peu plus que la lutte Aone/OS4 VS Peg/MOS ;-)

                      anonyme

                        #37854

                        Sinon, Zorro, t’es sacrément motivé avec tes (très longs) posts d’explications :-) Ca fait longtemps qu’il n’y en avait plus des comme ça ici (et d’aussi constructifs) ;-)

                        thefab

                          #37855

                          oh ben cette histoire de “n’achetez pas cette bouse, attendez notre super truc de la mort qui va tout tuer (bouse suxx)” me rappelle étrangement quelque chose :-D

                          mais c’est bien sympa cette rétrospective de l’atari, ça rafaichit un peu par rapport au reste ;)

                          Tom

                            #37856

                            @Jedi :

                            Nul n’est prophète en son pays.

                            Peut-être que si Zorro postait tout cela sur un forum atariste, il y en aurait pour troller dessus, le terrain MagiC – Mint semblant par exemple fertile en la matière.

                            En tout cas c’est clair que si quelqu’un ici s’attaquait à un tel historique dans le domaine de l’Amiga, il y a certains points d’interprétation de l’histoire (Pup/Wup, Mos/Aos…) qui provoqueraient à coup sûr des batailles rangées et le thread finirait dans les bas fond du forum guéguerre…

                            Tom

                              #37857

                              @zorro :

                              Merci pour tes articles, ô combien instructifs.

                              Durant les 2 précédentes Alchimie (auxquelles j’ai participé) je me suis dit à chaque fois “tiens avant la fin faudra que j’aille discuter avec la gang d’ataristes”. En fait une fois l’Alchimie touchant à sa fin, je n’avais pas pris le temps de le faire (de même que pour les cpcistes, d’ailleurs, honte sur moi).

                              A la lumière de tes posts, je vois que j’ai été bien con, par deux fois, de ne pas profiter de l’opportunité qui m’a été donnée.

                              Y a-t-il une chance pour qu’on te voit débarquer à la prochaine Alchimie ? Voir à la Huno 3 le mois prochain, où un groupe d’ataristes sera présent ?

                              SoundSquare

                                #37858

                                passionant !

                                effectivement ça prouve que les communautés Amiga et Atari sont identiques sur de nombreux points. La plus grosse différence dans leur évolution est la fidelité des Ataristes au 68000, ils n’ont pas cédé à la tentation du PPC. Leur souci de rétro-compatibilité est encore plus poussé que dans la communauté Amiga.

                                Merci pour ces articles qui nous ont tous fait un peu grandir.

                                et si le salut (la réconciliation) de la communauté Amiga passait par les Ataristes? A travers leur histoire nous avons une idée de notre futur, si nous ne nous débarrassons pas une bonne fois pour toute de nos divisions absurdes.

                                anonyme

                                  #37859


                                  @Tom
                                  : effectivement ;-)

                                  De même, parler de l’Aone/OS4 et du Peg/MOS sur un forum atariste devrait ne pas partir en c*uille… ;-)

                                  (sauf si un aoniste et un pegasien s’y retrouvent bien sûr :-D)

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